Le Master 2 Microfluidique, adossé à l’Institut Pierre-Gilles de Gennes, s’inscrit dans la spécialité « Systèmes Complexes » (Sorbonne Université, Université Paris-Diderot et Université Paris Saclay) et dans la spécialité « Science et Génie des Matériaux » (Université PSL)
Ce parcours est co-habilité par les institutions suivantes : Sorbonne Université, U. Paris Diderot, U. Paris Saclay, Université PSL .
Pré-requis. Master 1 en Physique, Chimie ou Biologie
60 ECTS au total – 30 ECTS par semestre.
Objectifs de la formation : Former les étudiants aux technologies de demain sans spécialisation prématurée
Modalités de formation : formation initiale ou en apprentissage (contrat de professionnalisation). Nous contacter pour plus de détails (organisation, tarif, etc.)
L’objectif du Parcours est de préparer les étudiants à des nouvelles opportunités professionnelles non seulement dans le domaine de la microfluidique (la science des écoulements à l’échelle micrométrique) mais également dans tout domaine impliquant des fluides et des micro/nanotechnologies.
C’est pourquoi la formation est très ouverte : dynamique des fluides, physicochimie, ouverture vers la biologie, les biotechnologies, de nombreux TP de micro/nanofabrication, sont prévus. L’enseignement, donné dans un esprit généraliste, assuré par des professeurs leaders de leur domaine, ouvre vers la recherche académique au meilleur niveau et offre un parcours très attractif pour les nombreuses entreprises qui s’impliquent aujourd’hui dans ces sujets.
Le nombre de domaines d’intérêt de la microfluidique (académiques et industrielles) est considérable : médecine, énergie, chimie verte, cosmétique, industrie agro alimentaire, etc.
Une présentation succincte de la microfluidique comme champ fondamental et d’applications est disponible ici : [lien]
Demain, les technologies développées permettront :
En biologie : de pouvoir traiter un grand nombre d’échantillons, de réaliser des expériences à l’échelle de la cellule et de comprendre les interactions entre les cellules, d’améliorer la précision et la rapidité des diagnostics comme pour le HIV, de réduire les volumes d’expérience…
En chimie : de tester des milliers de réactions, de réaliser des réactions chimiques encapsulées (micro fluidique en gouttes)…
En physique : de créer des systèmes automatisés contrôlés, de réaliser des systèmes expérimentaux…
Ce master ouvre donc des opportunités dans un domaine nouveau, en forte croissance au niveau international, dans un esprit pluridisciplinaire et sans spécialisation prématurée.
Que font les étudiants à la suite de ce master ?
Des thèses dans des laboratoires en biologie, physique ou chimie ou chez l’industriel en France ou à l’étranger : MIT Boston, Institut Langevin, TOTAL Pau, Les laboratoires de l’IPGG, Ladhyx à l’Ecole Polytechnique de Saclay, IUSTI à Marseille, L’OREAL à Paris, LOF à Bordeaux, Fluigent..